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Le budget d’impression d’une entreprise n’est pas négligeable : il peut représenter de 1 à 3 % du chiffre d’affaires de l’entreprise, d’après le cabinet Gartner. Aux dépenses d’acquisition et de consommables s’ajoutent celles de maintenance ou encore de réparations… Mais pas seulement. Des facteurs plus indirects, s’ils sont oubliés, sont susceptibles de se transformer en source de pertes financières et de productivité.
Les dépenses en électricité des appareils bureautiques, dont des multifonctions, ne sont pas à sous-estimer. Mieux vaut en faire le calcul et, en fonction de celui-ci, opter le cas échéant pour des machines moins gourmandes en énergie.
Savez-vous combien consomme votre parc d’impression ? Selon un livre blanc de l’Ademe, Consommation énergétique des équipements informatiques en milieu professionnel, datée de 2015, pas moins de 80 % des structures sondées ne connaissaient pas la part que représente l’informatique dans leurs dépenses électriques globales. Or, la consommation électrique des équipements informatiques peut varier de moins de 2 % à plus de 58 % de la consommation énergétique totale, selon la taille de l’organisation et son activité, les parts les plus élevées se trouvant dans le secteur tertiaire. La bureautique ? Elle compte pour un peu plus de la moitié de la consommation informatique, toujours selon la même étude.
Autre question : de quand datent vos imprimantes, copieurs et appareils multifonctions ? Car plus ils sont anciens, plus ils risquent d’être gourmands en énergie… Et si le renouvellement du parc représente certes un investissement, cela vaut tout de même la peine de faire ces calculs.
Autant d’interrogations auxquelles répond un indice baptisé TEC (« Typical Electrical Consumption »), élaboré par le label d’origine américaine Energy Star, adopté également par l’Union européenne et valable sur toutes les marques. Il mesure la consommation énergétique moyenne des imprimantes, copieurs ou multifonctions, en fonction des paramètres tels que la vitesse en mode fonctionnement, la consommation en mode impression, la volumétrie moyenne de l’imprimante… Étant exprimé en kilowatts, il permet d’estimer, en multipliant la valeur par le prix au kilowatt, le coût mensuel ou annuel de chacune des machines. Autrement dit, il est tout à fait possible de comparer ce que coûte un vieil appareil par rapport à une machine bien plus récente… Et du fait qu’un kilowatt correspond à un certain poids en carbone, cette valeur est en outre une fenêtre sur l’impact environnemental de l’entreprise.
Mieux vaut dans tous les cas que les équipements soient certifiés par un label, comme le soulignait récemment un article publié par le cabinet Quocirca, Les MPS et l’économie circulaire, dans le cadre de ses recommandations en matière de bonnes pratiques environnementales.
Outre le déjà mentionné Energy Star, nombre de labels existent sur le marché. Le label allemand Blue Angel répond à des exigences en matière de recyclage, de consommation d’énergie ou encore d’émissions chimiques.
ECOSYS est un label indépendant créé par le « Green Comittee » de KYOCERA Document Solutions : il concerne l’éco-conception des produits de la marque, garantissant un longue durée de vie. L’éco-label EPEAT (Electronic Product Europea Assesment Tool), le scandinave Nordic Swan… la liste n’est pas exhaustive.
La question des usages énergétiques s’impose en tout cas à l’ordre du jour des entreprises : les sociétés d’au moins 250 salariés sont en effet depuis récemment soumises à l’obligation légale de réaliser un audit énergétique.
Article réalisé par La Tribune.