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Certes, les progrès technologiques des systèmes d’impression au cours des dernières années ont été importants (intégration logicielle, interface utilisateur, économies d’énergie, miniaturisation, etc.), mais en ce qui concerne le « coût à la page », les avancées relèvent de l’ingénierie financière et sont logiquement portées par les banques et les leasers.
EXPLICATION:
Au-delà des progrès technologiques amenés par les industriels de l’impression et des avancées portées par leurs partenaires intégrateurs pour faire des solutions d’impression une composante majeure des systèmes d’information, les entreprises ont noté le rôle important des banques et des leasers dans les évolutions contractuelles.
Pour résumer, les établissements financiers ont apporté leur pierre – une pierre déterminante – dans la construction d’un « coût à la page » moderne. Moderne en ce sens qu’il arrive à la prise en compte la plus complète possible des coûts liés à l’impression d’une page, ce qui va bien au-delà de la fourniture des consommables.
Peut-on désormais parler d’offres « tout compris » ? C’est la tendance forte de l’impression aujourd’hui, car les banques sont venues compléter l’édifice mis en place par les constructeurs:
Concrètement, dans ce service, on retrouve le système d’impression.
Il reste une pièce centrale de ce service, mais il n’en représente qu’une partie et est dimensionné aux besoins de l’entreprise (volumes et vitesse d’impression, notamment) : la facturation devient centrée sur l’usage.
C’est probablement l’évolution la plus discrète et la plus importante du domaine de l’impression : les intérêts financiers des entreprises utilisatrices et ceux des fabricants se confondent. Ils ont convergés vers une estimation la plus précise possible des volumes d’impression prévisibles.
L’analogie avec le mode de facturation de la téléphonie mobile est tentante. Elle est tentante et elle n’est pas absurde, car les entreprises peuvent désormais « redimensionner » leur contrat en fonction de leur consommation réelle constatée, avec un nombre de pages imprimées supérieur ou inférieur aux prévisions.
Le saviez-vous?
28 pages par jour : c’est le nombre de pages imprimées par chaque salarié en France, en moyenne. Parmi elles, 4 pages seraient imprimées « inutilement ou par erreur ».