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1. L’emballage des systèmes d’impression ne doit pas utiliser de polystyrène ou d’autres matières plastiques, qui doivent être remplacées par du papier mâché dès que c’est possible (la principale contrainte est liée au poids de certains matériels).
2. Les palettes utilisées pour livrer les systèmes d’impression aux magasins doivent de préférence être en carton et non en bois ou en plastique (là encore, la principale contrainte est liée au poids de certains matériels).
3. Les emballages des consommables ne doivent pas être essentiellement composés de plastique et peuvent bannir la colle, voire les agrafes. Des systèmes de pliage des cartons permettent de les protéger efficacement.
4. Les usines de fabrication des matériels doivent avoir fait la preuve des engagements éco-responsables de la marque, notamment en ayant obtenu la certification ISO 14001.
5. Pour les systèmes d’impression laser, le seul consommable doit être l’encre (le toner) et non des sous-ensembles complets qui incluent le tambour. Pour durer (plus d’un million de pages pour certains modèles récents), le tambour doit être fabriqué en céramique.
6. Le driver du système d’impression doit être « universel » et peut donc être unique pour l’ensemble des produits de la marque, ce qui facilite grandement le déploiement et l’intégration des matériels.
7. Les systèmes d’impression doivent systématiquement intégrer des fonctions permettant de réaliser des économies d’encre (mode « brouillon ») et de papier (impression recto-verso), voire les deux (possibilité d’imprimer plusieurs pages sur une seule feuille).
8. Les systèmes d’impression doivent afficher leur propre empreinte carbone. Au-delà de l’éco-conception des produits, les marques doivent donc prendre en compte l’ensemble du cycle de vie des matériels, c’est-à-dire la facilité de les recycler. Dans le même esprit, elles peuvent mettre en place les processus qui facilitent la collecte et le traitement des cartouches et bidons d’encre usagés.
9. Les marques doivent avoir mis en place des procédures et des partenariats afin que les systèmes d’impression d’occasion en état de marche soient valorisés et revendus. Dans ce domaine : l’adage « le meilleur déchet est celui qu’on ne produit pas » se vérifie tout particulièrement.
10. L’engagement des marques dans les démarches éco-responsables doit pouvoir être « daté » et il doit concerner l’ensemble de leurs activités et pas une seule ligne de produits. Entre autres exemples, on peut citer l’entreprise KYOCERA qui, comme son nom l’indique (KYOto CERAmic) utilise la céramique qu’elle fabrique pour les tambours de ses systèmes d’impression, mais aussi pour la fabrication de panneaux solaires, activité démarrée dans les années 70.
Pour l’acheteur, la vérification de ces 10 points demande d’aller au-delà de ce qui est indiqué sur l’emballage du produit ou sa fiche de présentation. De fait, elle implique un dialogue avec le vendeur mais la plupart des informations sont désormais disponibles sur les sites Internet des marques.