Impact environnemental
Comment Kyocera a inventé la longévité programmée

Avant d’entendre les arguments de KYOCERA concernant le débat sur l’obsolescence programmée de nombreux matériels électroniques, il faut rappeler pourquoi cette entreprise japonaise créée en 1959 porte ce nom.
- KYO vient logiquement du nom de la ville Kyoto (comme le « Prix de Kyoto », créé en 1984, ou les « Accords de Kyoto », signés en 1997).
- CERA de « ceramic », la céramique étant un matériau d’origine naturelle appelé à durer des milliers d’années.
Cette entreprise est donc née pour fabriquer des matériels faits pour durer très longtemps. La tactique qui a poussé certains industriels à limiter volontairement la durée de vie des machines se situe ainsi à l’opposé de la stratégie que KYOCERA consolide depuis sa fondation, voilà aujourd’hui près de 55 ans.
Avant même que « l’obsolescence programmée » soit pointée du doigt partout
dans le monde comme une condamnable déviance industrielle, KYOCERA
Document Solutions a affiché la couleur :
- 1 million de pages imprimées au minimum pour la majorité des imprimantes de sa nouvelle gamme ECOSYS*. Comment parvient-il à ce résultat ? Le savoir-faire du fabriquant est fondé sur la maîtrise de la céramique et il a logiquement doté ses imprimantes de tambours conçus avec ce matériau.
Concrètement, la stratégie de KYOCERA Document Solutions est claire :
Les matériels d’impression ne sont pas des consommables... Le seul consommable utilisé pour ses produits est le toner d’impression (qui est le plus performant du marché selon l’étude de l’institut indépendant TÜV Rheinland).
Durée de vie donnée à titre indicatif, des imprimantes FS-4100DN, FS-4200DN et FS-4300DN, sous réserve du changement du kit de maintenance à 500 000 pages.