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Si la notion du « coût à la page » pour les systèmes d’impression est aujourd’hui connue de toutes les entreprises, il faut se souvenir que cette approche est relativement récente et qu’elle est née dans le monde des copieurs, avant de converger avec ces matériels vers les imprimantes.
Le simple fait de parler d’un « coût à la page » suffit pour rappeler qu’avant lui, la plupart des entreprises ignoraient ce que coûtait une page imprimée, surtout lorsque le parc de matériels était composé d’imprimantes.
En effet, il faut rappeler que l’approche contractuelle du coût à la page est née dans l’univers des copieurs. Elle s’est logiquement étendue au monde des imprimantes lorsque les deux types d’outils ont convergé vers ce qu’il convient désormais d’appeler des « systèmes d’impression ».
Pour les entreprises, le premier gain lié à cette évolution était de leur faire connaître le coût réel d’une impression. Or, on ne peut maîtriser un coût que s’il est connu. Durant les années 90, les entreprises ne pouvaient se reporter qu’aux estimations globales du coût de l’impression, qui variaient entre 1% et 3% du chiffre d’affaires.
Tels quels, ces chiffres qui cumulaient les coûts d’acquisition des matériels, les dépenses en consommables comme l’encre et le papier, l’entretien des matériels ou le temps passé par les utilisateurs, ont logiquement paru colossaux.
Dans les faits, le principal changement associé à la montée en puissance du coût à la page a été de donner la primauté au bon dimensionnement des systèmes d’impression par rapport à l’utilisation sur la performance « nominale » des mêmes systèmes, généralement mesurée en nombre de pages par minute (PPM).
Oui, et plusieurs évolutions sont en cours, notamment en ce qui concerne le taux de couverture (ou d’encrage) des différentes pages ou la prise en compte des différents services.
C’est l’objet de la deuxième partie de ce dossier.
Le saviez-vous ?
L’impression couterait selon le cabinet IDC entre 1% et 3% de leur chiffre d’affaires aux entreprises (chiffrage de 2011). S’il n’est évidemment pas imaginable de ramener cette proportion à zéro, il est possible de la connaître plus précisément dans un premier temps, puis de la réduire, de l’ordre de 30%.