Elèves, enseignants, personnels d’encadrement...
Tous les acteurs de l’enseignement ont des besoins dans les domaines du document, qu’il s’agisse de copier, d’imprimer ou de numériser.
Bien avant les autres, l’univers de l’enseignement a arrêté de rêver à un bureau « sans papier ».L’impression sur papier peut être mieux pensée, elle peut être optimisée, mais elle reste indispensable pour tous, qu’il s’agisse d’imprimer son mémoire pour un étudiant, d’imprimer un énoncé pour un enseignant ou encore d’imprimer un règlement intérieur pour un encadrant.
Un problème économique : un étudiant peut-il imprimer plusieurs centaines de pages correspondant à son mémoire et à ses annexes « aux frais de la collectivités » ?
Un problème de priorité : quelle urgence doit-elle s’imposer aux autres ? Celle du responsable d’établissement qui est tenu par la loi d’afficher tel ou tel message ? Celle d’un enseignant qui doit imprimer un énoncé avant un examen ? Celle d’un étudiant qui doit remettre immédiatement un travail ?
Dans un premier temps, la réponse fut de multiplier le nombre de machines jusqu’à un niveau irrationnel. Les (mauvaises) expériences l’ont montré : ce n’était pas la bonne solution. La raison consiste plutôt à disposer d’un nombre limité de solutions d’impression de capacité suffisante (notamment le nombre de pages par minute) et, surtout, de personnaliser les droits d’accès : nombre d’impressions, qualité d’impression, couleur ou non, option recto-verso ou non, agrafage, etc.
Concrètement, il est désormais possible de personnaliser les droits de chacun grâce à une carte que l’on insère dans la solution d’impression. Le « must », pour les établissements d’éducation supérieure, consiste même à commercialiser des « droits à imprimer » (des unités, généralement stockées sur une carte), pour que chacun imprime à sa guise sans grever le budget de la collectivité. De ce point de vue, « copier » est un réel progrès !
